Biocoop Autun

Très proche de son environnement, Avenir Nature vous présente la qualité de la Puisaye à travers ses productions conduites sur le principe de la biodynamie, puis transformées en différents types de farines traditionnelles. Certains produits sont vendus également directement telles que les lentilles.

Notre moulin à meule de pierre granit, de type astrié, permet d'obtenir une farine préservant toutes les qualités nutritives et gustatives du grain.

Très proche de son environnement, Avenir Nature vous présente la qualité de la Puisaye à travers ses productions conduites sur le principe de la biodynamie, puis transformées en différents types de farines traditionnelles. Certains produits sont vendus également directement telles que les lentilles. Notre moulin à meule de pierre granit, de type astrié, permet d'obtenir une farine préservant toutes les qualités nutritives et gustatives du grain.

Loché, petit village du Sud de la Bourgogne, mérite l’attention du visiteur. Ses rues étroites et son église du XIIème siècle en font une bourgade pittoresque et agréable. La vigne y est omniprésente et fait partie de son histoire. Ses terrains argilo-calcaires exposés à l’est ont toutes les conditions requises pour l’élaboration de grands vins.

C’est au cœur de ce village que se situe notre domaine. Né d’une première vinification en 1990, il est devenu à force de travail et de conviction, une structure familiale établie.

Nous avons toujours privilégié la qualité du travail et soigné la relation à nos terroirs, à nos vignes et à nos clients en vue d’un résultat gustatif toujours optimum et partagé. C’est donc tout naturellement que nous nous sommes tournés vers les pratiques relevant de la biodynamie – avec certification DEMETER – pour soutenir notre démarche. C’est tout ceci, transformé en couleurs, en arômes et en saveurs, que vous retrouverez glissé au fond de votre verre lorsque vous dégusterez nos vins.

Céline & Laurent Tripoz

Alexandre Guetière raconte, avec passion, son parcours de céramiste : « Après l'école de céramistes de Dijon-Longchamp, je suis allé dans le sud de la France travailler avec des potiers et d'autres céramistes. Le Compagnonnage, qui faisait faire, à chaque Compagnon, son tour de France, n'existe plus depuis 2001, mais on peut partir seul. J'en suis revenu avec des idées comme celle de faire des oyas, ces petites réserves d'eau dont le pied, poreux, s'enfonce dans la terre à côté de la plante et permet à cette dernière de vivre quatre jours sans être arrosée ».

Pour réaliser les bols de terre rouge, il faut cuire la terre à 1.000 °C ; pour le grès, c'est plus difficile, il faut monter à 1.300 °C. Enfin, devenir céramiste dans la Nièvre, c'est aussi proposer de nouvelle façon de faire et de nouveaux objets. Comme l'oya, qui, en ces temps de sécheresse, a toute sa place ici.